Avec l’orchestre du Festival de Lucerne, Claudio Abbado s’est réalisé un rêve. L’orchestre a établi de nouveaux critères dans le domaine de la musique symphonique avec ses solistes exceptionnels dont Kolja Blacher, Natalia Gutman et Sabine Meyer. Les interprétations des compositions de Mahler y sont exemplaires. La Sixième Symphonie, créée en 1906 et souvent surnommée la « Tragique », se termine – contrairement aux autres symphonies de Mahler – dans la ruine et le désespoir. Grâce à l’orchestre du Festival de Lucerne, cette prodigieuse musique resplendit dans toute sa diversité.
Avec l’orchestre du Festival de Lucerne, Claudio Abbado s’est réalisé un rêve. L’orchestre a établi de nouveaux critères dans le domaine de la musique symphonique avec ses solistes exceptionnels dont Kolja Blacher, Natalia Gutman et Sabine Meyer. Les interprétations des compositions de Mahler y sont exemplaires. La Sixième Symphonie, créée en 1906 et souvent surnommée la « Tragique », se termine – contrairement aux autres symphonies de Mahler – dans la ruine et le désespoir. Grâce à l’orchestre du Festival de Lucerne, cette prodigieuse musique resplendit dans toute sa diversité.